Séquence cinéma 11 : Match de ping-pong (1962-63)


La scène 
: la salle vitrée. La finale d’un championnat de ping-pong, pendant l’année scolaire 1962-63.

C’est un document fort intéressant. Il permet de reconnaître beaucoup d’élèves (et quelques professeurs), massés autour d’une table de ping-pong. Le Proviseur (l’abbé Ferminne) a promené sa caméra lentement et longtemps (3 minutes 26 secondes) sur les visages des spectateurs, sur lesquels on lit les expressions de joie ou de déception. Il est facile de voir où vont leurs sympathies : les deux finalistes qui s’affrontent sont Jean-François Degand (en 5ème en 62-63) et Émile Lambert (en poésie en 62-63). Un « petit » et un « grand » (un « du cycle inférieur » et un « du cycle supérieur », comme on dirait peut-être aujourd’hui). Donc, suivant son âge, on manifeste sa sympathie pour l’un ou l’autre des protagonistes.

Une grande partie de la communauté est rassemblée ici. En 1963, le Séminaire compte environ 300 élèves et, à en juger par la foule, beaucoup sont présents sur cet extrait de film. Ils partagent un moment de grande intensité, ils communient à un même sentiment : ils font bloc autour d’un des leurs, dans une joyeuse animation. L’adversaire n’est pas un ennemi. On le connaît bien, on connaît bien son « camp ». On se connaît. On partage la même vie et les mêmes valeurs.

Nous vous souhaitons beaucoup de plaisir à vous replonger dans cette ambiance. Si vous avez été élève en 1962-63, vous reconnaîtrez beaucoup de personnages. Aidez-nous à les identifier ! Beaucoup nous sont connus mais certains prénoms nous échappent et nous avons sûrement commis des erreurs. Faites souvent des « arrêts sur image » et vous aurez la surprise de voir apparaître tel ou tel « ancien », disparu de votre mémoire depuis longtemps.

C’est un festival de têtes et d’attitudes. Bon amusement !

NB : Si vous reconnaissez des personnages non identifiés, si vous avez envie d’apporter votre commentaire, utilisez la rubrique « Laisser un commentaire ».

Résumé
Nous livrons cet extrait sans coupure. « Tout est bon ici, il n’y a rien à jeter. »

00.07 Michel Hupet ; Pierre Herman.
00.10 Luc Renard, Jean-Marie Pector.
00.28 Gérard Bernier.
00.30 Alain Lebizay.
00.31 Jean-Marie Martin.
00.34 Jean-Marie Piraux.
00.43 (prénom ?) Legrain.
00.45 Jean-Marie Pector.
00.51 Michel Hupet, Pierre Herman, Louis Richardeau, Hubert Charlier, André Bodson.
00.54 Jean-Pierre Pâris.
00.57 Jean-Pol Straus.
00.58 Jacques Rasschaert, André Charlot.
01.00 Bernard Gillain.
01.01 Camille Dion, André-Marie Jeanmart, Jean-Robert Schmit.
01.04 Guy Béart, Daniel Strulens, André Jacquemart, Marc De Muynck, Jean-Marie Labrassine.
01.05 Pierre Lambert, Guy Béart.
01.09 Arsène Dion.
01.10 Wilfried Fieremans.
01.12 Marc Sohet.
01.13 Pierre Bollet, Michel Sépulchre.
01.17 Yves-Marie Frippiat, Jean Polet.
01.19 André Tasiaux.
01.22 Freddy Gillain, Jean-Pierre Michiels, René Goffaux.
01.44… Joseph Polet, Jean-Marie Marischal, Michel Delire, abbé Dion, Patrick Wanet, Jean-Pierre Lapaille, Michel Warnon, Michel Tirifahy.
01.49 Émile Schaak.
01.51 Abbé Dangoisse, Michel Douhard, Johan Deconinck, François Sadzot, Bernard Cuvellier.
01.58 Paul Pirot, Joseph Borlon, Bernard Rossion, André Crevits.
02.06 Jean Snauwaert, Paul Gérard.
02.08 Thierry Pierard, Michel Toisoul, René Roquet.
02.10 Jacques Bernier.
02.16 Michel Lahaut, Jean-Marie Jaucot.
02.18 Yves Destrée.
02.20 Yves Namur, Jacques Lechat.
02.21 André De Koninck, Jean-Pol Hannard, Alex Furnémont.
02.22 Christian Gruslin, Étienne Vansilliette.
02.30 Robert Materne, Jean-François Golinvaux, José Mathieu.
02.33 Abbé Dubois.
02.39 Étienne Flahaux.
02.51 Christian Pierard.
02.54 Jean-Pierre Poncin.
02.56 Pierre Gérard.
02.57 Camille Focant.
03.00 Pierre Lecomte.
03.07 Louis Petit.
03.09 Josy Petit.
03.11 Adelin Rousseau.
03.14 Gérard Frippiat.
03.23 Roland Themans.

5 réflexions sur « Séquence cinéma 11 : Match de ping-pong (1962-63) »

    1. Vous m’apprenez que votre papa, Michel Thirifahy, est décédé. Je l’apprends avec beaucoup de tristesse, ayant été dans la même classe que lui pendant plusieurs années. De plus, je parlais parfois de Michel avec son cousin, José Thirifahy, qui était un ami. Maman était de Farciennes, sa meilleure amie était la maman de Marie-Jeanne, l’épouse de José. Eh oui, le monde est petit…
      Quand vous avez envie de pousser la porte de l’ancienne école de votre papa, n’hésitez pas, nous pouvons évoquer les années 60 par exemple en vous montrant des albums de photos de cette époque.

  1. à 1’08” à l’avant-plan, avec des lunettes, Yvon BOUCHAT (rhéto 1966)
    à 1’11” Alphonse SPAEPEN (idem)
    à 1’16” je crois reconnaître (avec des lunettes) Jean-Pierre LEGROS (idem)
    à 1’20 avec une écharpe, Luc DELISSE (idem)
    à 2’29 (se gratte le front) Joseph DUFEY (idem)
    à 2’44” Jean-Pierre BINAMé (idem)

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