Pour le contexte, reportez-vous au document 8.
Le Supérieur de l’époque (1931-32, …), le chanoine Kaisin, continue la codification très précise de la conduite à avoir pendant les vacances, surtout au nouvel an. Édifiant.
Transcription (de certains passages)
6. Visites: courtes, peuvent être plus fréquentes.
a. de vacances:
- Votre famille.
- M. le Curé et M. le Vicaire, pour vous mettre à leur disposition.
- Votre ancien instituteur.
- personnes qui s’intéressent à vos études.
b. de nouvel an – Les mêmes.
- M. le Curé et M. le Vicaire, pas à la sacristie ou sur le chemin, chez eux.
- la veille mieux que le jour même.
- quelques minutes. Beaucoup ne peuvent pas se retirer à temps, collent à leur chaise.
- Saluer la personne qui vous ouvre. Correctement, même si vous êtes un habitué de la maison.
- – le Curé est-il chez lui ?
– Voulez-vous lui demander s’il peut me recevoir ?
- – Bonjour, M. le C. Comment allez-vous ? (… il se porte)
- – Vos résultats – Comment s’est passé le trimestre – Le bonjour respectueux de vos maîtres – Tout ce qui peut l’intéresser.
À la fin, non pas : voilà ! allez ! ou allons !
= « Je me retirerai, M. le C., si vous me le permettez… »
= ou sans conclusion, vous vous levez en continuant la conversation – à moins que M. le C. n’insiste. Dans ce cas, demandez-lui s’il ne préfère pas que vous reveniez à un autre moment et quand ?
Si l’on sonne pendant que vous êtes là, offrez de vous retirer pour permettre à M. le C. de recevoir l’autre visiteur.
NB
Ailleurs qu’au presbytère, défiez-vous des jours pareils, si l’on vous offre quelque chose. Restez toujours en deçà de ce que vous pourriez peut-être supporter. Mieux vaut rester loin en deçà que d’aller si peu que ce soit au-delà.