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Carte postale 4 : Vue panoramique de Floreffe prise du chemin de fer

vue de Floreffe prise du chemin de fer

Comparez la photo précédente, « Sambre et chemin de halage », et celle-ci.
La vue, ici aussi, est prise du chemin de fer mais l’angle de prise de vue est plus large, le photographe est placé plus haut. (L’intitulé de la carte, sous la photo, indique : « Vue panoramique de Floreffe prise du Chemin de fer ».)
Les murs de terrasse du séminaire sont bien visibles. Si vous agrandissez la photo, vous pouvez voir la balustrade.
En dessous, près du sentier qui monte dans le bois du Nangot (invisible sur la photo), la maison du batelier et un espace non bâti.
Le mur d’enceinte du séminaire, qui enferme le séminaire et la ferme du bas, grimpe jusqu’au pied de la chapelle Saint-Roch et englobe la ferme de Robersart, est bien visible aussi, de même que le mur du cimetière.
Au pied du mur qui descend du cimetière paroissial se détache le pont-levis (levé), avec les maisons comme fond. Il donnait accès au chemin vers Mauditienne. Nous vous conseillons d’agrandir la photo pour mieux le distinguer.

Un essai de datation : le cachet de la poste renseigne la date de 1905.*

*Il faut savoir que, jusqu’en 1905, sur les cartes postales, on écrivait du côté de l’illustration, l’autre côté étant exclusivement réservé à l’adresse du destinataire et à celle de l’expéditeur. Ici, le texte écrit se résume à… la signature. « Camille » n’était pas bavard…

Photo 4 : Professeurs (1968)

En 1964, Philippe Hubaux créa dans l’école un « labo-photos » avec des moyens de fortune (autrement dit peu fortunés). Parmi les élèves qui ont fréquenté le labo-photos, je me rappelle Philippe, bien sûr, Jean-Pol Hannard, Pierre Cambron, Jean Ghyse, Jean-Pierre Van Laethem. D’autres ont dû y passer, qu’ils veuillent bien m’excuser de ne pas m’en souvenir et nous le signaler en laissant un commentaire ci-dessous, nous nous ferons un plaisir de les ajouter à notre liste.

En tous cas, Pierre Cambron (rhéto 1969) était l’un d’eux. Il a eu la bonne idée de photographier tous les professeurs de l’école, dans des attitudes très naturelles. Des clichés pris sur le vif : quand les professeurs arrivaient à l’école ou en sortaient, ouvrant ou fermant la portière de leur voiture, aux interruptions de cours, quand ils passaient dans la cour d’honneur pour se rendre au « salon des profs ».

C’était à l’occasion du « Carême de partage ». Les élèves mettaient sur pied des activités qui leur permettaient de récolter de l’argent au profit d’associations caritatives. Ici, la vente de photos. Pierre m’a donné un CD de ses photographies qui offrent un panorama complet du corps professoral en 1968-69. Merci !

Un championnat de football avait lieu aussi à ce moment. Voir la séquence « Cinéma 1 – Un match de foot entre élèves et professeurs en 1971 ».

Les trois professeurs que vous voyez ci-dessous en 1968 : Jacques Leclef – Henri Schockaert – Michel Delire.

Leclef 1968Schockaert 1968Delire 1968

Séquence cinéma 2 : Camp à vélo avec l’abbé Henin

Pour visionner le deuxième petit film que nous vous proposons, cliquer ici

Les élèves de la rhéto 57-58 ont pu participer à deux expéditions mémorables avec leur professeur de poésie, l’abbé Henin. La première, en juillet 1957, en Allemagne jusqu’à Coblence ; la seconde, en juillet de l’année suivante, en France jusqu’à Vézelay. La vidéo de 3 minutes que nous vous proposons concerne la première. Ces voyages à vélo avec des élèves des classes supérieures, d’autres professeurs en organiseront les années suivantes. Parmi eux, Paul Jeanty, André Magonet , Michel Warnon et l’abbé Louis Dubois lorsqu’il était préfet de discipline.

 Le résumé

Treize élèves sur les trente et un de la classe prendront part au périple (B.Cornil, P.Demarcin, JM.Detry, L.Docquier, JM.Doumont, J.Frennet, P.Gilmard, R.Lamoureux, R.Leboutte, J.Lecomte, C.Manise, V.Roland et A.Thibou).
Le matin du départ, ceux qui sont arrivés la veille et ont logé au Séminaire quittent ce dernier après avoir accompli un tour dans la cour d’honneur. Les dix-huit qui ne sont pas de la partie ont voulu être là pour saluer et encourager leurs condisciples. Mais il est difficile de reconnaître ici les visages. La caméra de l’abbé Ferminne a ses limites… Les visages des participants seront plus nets dans la seconde scène. On remarquera cependant que l’abbé Henin porte la soutane pour ce départ ; il n’enfilera le clergyman qu’après l’étape de Bastogne.
L’abbé Neyt et l’abbé Ferminne, avec les bagages dans la camionnette VW, accompagnent les élèves jusqu’à Ettelbrück au Grand-Duché. Là, chacun doit prendre en charge son barda, en partie sur le dos, en partie sur le porte-bagages de son vélo. Durant cette méticuleuse et importante opération de fixation, on peut facilement reconnaître :

  • 1.11 B.Cornil, l’abbé Henin, C.Manise, l’abbé Neyt, JM.Doumont, J.Lecomte, L.Docquier, P.Gilmard (dit Pilou), R.Leboutte près de la camionnette, V.Roland.
  • 1.20 B.Cornil, JM.Detry, l’abbé Henin, C.Manise, l’abbé Neyt, J.Frennet, J.Lecomte, JM.Doumont, L.Docquier.
  • 1.33 R.Lamoureux, J.Lecomte, V.Roland, JM.Doumont.
  • 1.42 A.Thibou, R.Lamoureux, L.Docquier, P.Demarcin près de la camionnette, l’abbé Neyt et l’abbé Henin.
  • 2.08 l’abbé Neyt (de dos) et JM.Detry (avec son bonnet acheté en excursion).
  • 2.16 devant le vélo appuyé contre un mur, J.Frennet et JM.Doumont.
  • 2.19 A.Thibou.

Et puis l’aventure commence vraiment, mais nous n’en verrons rien, les abbés Neyt et Ferminne étant repartis à Floreffe. Pour les cyclistes, direction la Moselle et Trèves, Bernkastel, Rüdesheim, Coblence, la vallée de l’Ahr, le circuit du Nürburgring, Bell (Maria-Laach) et Houffalize.
Jacques Frennet a longuement évoqué ce périple dans la chronique publiée pour les 50 ans de sortie de la rhéto 57-58. Nous lui empruntons les quelques extraits suivants :
« Nous venions à peine de quitter le Séminaire pour des vacances bien méritées que nous le retrouvions quelques jours plus tard, le temps pour nos mamans de lessiver, repasser et préparer notre sac …, le Séminaire lieu de départ de cette première expédition cycliste. Les Condruziens, Famennois et Ardennais nous rejoindront en cours de première étape. Le dortoir avait les senteurs du repos, de l’escapade, de l’aventure.
Après un petit-déjeuner copieux servi par les Sœurs et les encouragements de l’abbé Ferminne, nous avons enfourché nos vélos, direction Bastogne, le peloton grossissant au fur et à mesure que nous progressions.
(…) Le voyage s’est poursuivi au travers de la Petite Suisse luxembourgeoise par Vianden, Echternach jusque Trèves, Bernkastel et, selon les informations précises de JM.Doumont, Rüdesheim. Nous avons dormi à l’Auberge de Jeunesse de Bernkastel au milieu des vignobles de la Moselle, escaladé les routes étroites qui sillonnaient les vignes. Je sais que Pilou (P.Gilmard) suait dans ces côtes, encouragé par Roger (Lamoureux), chaque virage étant une épreuve pour lui.
(…) Paul (Demarcin), amoureux, avait le cafard…couché, pensif, sur les berges de la Moselle transportant avec lui un spleen bien de notre âge.
(…) Avec la Moselle, nous avons abouti à Coblence, au confluent du Rhin ! Koblenz et sa citadelle. Et le Rhin nous a conduits à Bad-Neuenahr, ville d’eau, confluent du fleuve avec la rivière Ahr, aux portes de l’Eifel.
Je ne sais plus si c’est à Koblenz ou à Bad-Neuenahr, mais cela se passait dans un petit restaurant où nous avions décidé de souper. La caisse commune nous autorisait ce petit extra, imposé aussi par le temps pluvieux et des obligations naturelles…que les toilettes de l’auberge permettaient de satisfaire. Au menu, une copieuse choucroute ! Notre parler en français interpelle un client allemand qui nous accoste. C’est un ancien de la guerre 14-18, que Roger (Lamoureux) appellera « Noss pitit casque à pointe » !

– Vous fenez d’où ?
– De Belgique, de Namur !
– Ach sô, Namürrr ! Marchhhovelette, Vedrinnn. Ja, das ist schön, Namürrr! Doournéé    guénéraal!
– Ah bon, vous connaissez Namur?
– Ja schön Namürrr, links Kadaaaveren, rechts Kadaaaveren, ja dat is schöne Namürrr! Noch, doournée guénéraal!

 Les hasards des rencontres sont parfois surprenants. En tout cas cette rencontre a laissé à quelques-uns d’entre nous un joyeux souvenir, très loin de la réalité de la guerre, mais déjà dans le dépassement des inimitiés… avec à la clé quelques chopes à l’œil !
Par la vallée très encaissée de l’Ahr, traversée sous la pluie, nous avons découvert le merveilleux massif de l’Eifel, le circuit du Nürburgring, le lac de Maria Laach et l’abbaye cistercienne. Puis ce fut le retour en Belgique par Saint-Vith et Houffalize où nous avons passé notre dernière nuit, hébergés par le Doyen du lieu, un ancien de Floreffe…
Le lendemain, nous sommes repartis, à la fois tristes que l’aventure se termine, mais ayant pris la décision de recommencer dans un an, à la fois heureux de retrouver enfin des vacances en famille…ou, Paul, celle qui te manquait, un soir, le long de la Moselle !
Notre petit peloton s’est ensuite réduit, perdant unité par unité, pour nous retrouver à quelques-uns chez l’abbé Dubois, à Faulx-les-Tombes. »

Commentaires de Jacques Frennet et Jean-Marie Detry

Document 2 : Programme de deux jours de fête (1930)

Pendant longtemps (au moins dans les années 1910-1930) exista au Séminaire la Fête de Monsieur le Supérieur. Il nous en reste des programmes, imprimés par J. Evrard-Thiry à Franière. Nous vous proposons celui de 1930. C’est un feuillet de quatre pages (12,5 x 19,5 cm), dont la page 1 est encadrée par les couleurs nationales. 1930, c’est le centenaire de l’indépendance de la Belgique.

En page 1, la présentation.
En page 4, l’hymne de Floreffe.
Les pages centrales contiennent le programme proprement dit des deux journées de fête – la Fête du Supérieur comportait toujours deux jours, dimanche et lundi, en mai ou en juin. Page 2 : les activités des élèves puis la pièce de théâtre et les intermèdes musicaux.
Page 3 : le programme du dîner.

Très bien. Tout se serait même passé dans le meilleur des mondes si nous n’avions pas gardé les annotations manuscrites du supérieur de l’époque, le chanoine Kaisin, concernant la conduite déplorable des élèves ces deux jours-là.

Nous reproduisons ses remarques après le document officiel. Faites la comparaison, vous serez surpris et amusés…
(Pour visualiser ces documents en plus grand format, il vous suffit de cliquer dessus.)

fête de Monsieur le Supérieur 1930 (1) fête de Monsieur le Supérieur 1930 (2) fête de Monsieur le Supérieur 1930 (3)

Photo 3 : Elèves descendant l’escalier d’honneur 1949

elèves dans escalier des classes

Voici une scène que vous ne pouvez plus voir maintenant, en 2015 : des élèves, portant en main des livres, descendant le grand escalier d’honneur. Et pour cause, ce magnifique escalier à deux volées (au départ) et muni d’une rampe en fer forgé très ouvragée est aujourd’hui en réparation. L’accès est interdit.

La photo a été prise en 1949. Les élèves ont eu cours avec l’abbé Noël, que l’on distingue en haut de l’escalier, et descendent à l’étude pour y déposer leurs livres. L’abbé Noël (« Capi » était son surnom) a été professeur au Séminaire de 1912 à 1953. Il a été longtemps titulaire de la classe de IIIème.

En fait, ce cliché était destiné à illustrer un prospectus de présentation de l’école. Habituellement ce n’était pas le professeur mais le préfet qui se tenait en haut de l’escalier, au milieu de la balustrade. Le professeur, lui, descendait avec ses élèves.

Noms des élèves reconnus : x BAUDINE, Baudouin CAPPE, x CORNIL, René DELEU ( ?), Louis FISSE, x GILMAR, Guy KAISIN, Luc LAMOLINE, x LOMBA, Jean-Marie MOTTE, Luc PETIT, Guy RIHOUX, Pierre VAN CASTER.

Si vous reconnaissez d’autres personnages (vous-même ?), n’hésitez pas à nous le signaler. Vous pouvez utiliser la place réservée à vos commentaires ci-dessous ou nous écrire archisef@semflo.be

 

Carte postale 3 : Sambre et chemin de halage

Sambre et chemin de halage

Sur cette carte postale, le tracé de la Sambre n’a pas encore été rectifié : nous sommes ici au bord de ce qui est maintenant la vieille Sambre.
Le chemin de halage porte bien son nom (« Chemin emprunté par les personnes, les animaux, les machines qui halent un bateau le long d’un cours d’eau, d’un canal », nous dit le dictionnaire Larousse de 1963) : on distingue le câble reliant le cheval au mât élevé du chaland* qu’il tire – ou qu’il « hale ». Si vous regardez attentivement, vous verrez même que le câble est détendu, ce qui signifie que le cheval est à l’arrêt. Oui, on fait la photo, il y a donc un temps d’arrêt.
C’est un bel instantané. On distingue plusieurs pêcheurs sur la berge, un promeneur.
Au pied de l’église paroissiale, la partie basse du cimetière n’est pas encore aménagée et on voit la pente herbeuse qui va jusqu’au mur d’enceinte du cimetière. En contrebas de cet espace, à côté de la maison habitée aujourd’hui par le docteur Dubois, on voit nettement une maison au pignon blanc tourné vers la Sambre et au toit en croupette, aujourd’hui démolie. Elle occupait l’emplacement actuel du garage du docteur Dubois. Cette maison figure sur un dessin de Jan de Beyer, d’environ 1740, conservé au musée de Croix à Namur. Voyez la reproduction ci-dessous.
Un essai de datation : le cachet de la poste indique l’année 1924.

* Chaland : « Bateau non ponté, à fond plat, destiné au transport des marchandises sur les rivières et les canaux. » (Larousse de 1963, toujours…)

de Beyer

 

Photo 2 : Une équipe de football (Bruxelles 1964)

football Bruxelles 1964

Debout, de gauche à droite : Joseph Borlon, Christian Gruslin, Jean-Marc André, Jean-Pierre Lapaille, Michel Vansilliette, Alain Lebizay, Étienne Vansilliette, Jean Étienne, François Sadzot.

Accroupis, de gauche à droite : Philippe Minette, Bernard Gilis, Louis Petit, Gabin Mangelesi, André Bertrand, Bruno Moussoux, Michel Ferminne.

« Après quelques mercredis d’entraînements intensifs (au terrain en bord de Sambre) sous la houlette de Michel Delire, nous nous sommes rendus un mercredi au stade Fallon, à Woluwé-Saint-Lambert, pour y disputer le tournoi du fair-play.

Michel Delire et quelques professeurs ont officié comme chauffeurs de taxis.

Bien que Gabin Mangelesi ait eu le but au bout du pied, nous avons été défaits 1-0 mais nous avons été cités au mérite du fair-play. »

         (Bernard Gilis)

 « Il s’agit du tournoi du fair-play (des équipes de minimes), au stade Fallon, à Woluwé-Saint-Lambert. Là évoluait habituellement le Racing White, club de division I à l’époque. Nous avions fait le trajet dans quelques voitures – celles de Michel Delire, du proviseur et de quelques parents, je suppose. Je me rappelle que les parents Vansilliette étaient présents.

Le seul but que nous avons encaissé l’a été à cause… du vent ! Michel Vansilliette (un costaud) a envoyé un tir puissant dans les nuages, le ballon a été dévié par le vent et s’est retrouvé finalement dans notre but ! »

                                                                                                                        (Jean Étienne)  

Carte postale 2 : Moulin et cour

moulin et cour

 Le chariot servait probablement à transporter les tonneaux de bière. (Nous sommes dans la cour de la ferme, en face du moulin)

Aujourd’hui disparus : l’appentis dans le prolongement du moulin et la serre.

Celle-ci, que l’on peut voir sur la carte postale précédente en l’agrandissant, est bien visible ici. Nous commentions ainsi : «Au pied de l’ancienne bibliothèque, au niveau du faîte de la toiture du moulin, se détache une construction en forme de parallélépipède, avec une toiture à deux pans. (…) Il s’agit d’une serre. Avant la serre, le couronnement de ce petit édifice était semblable à celui des autres tourelles. » (Voyez le commentaire d’il y a 15 jours)

La carte postale a été envoyée en 1912.

Séquence cinéma 1 : Match de foot entre élèves et professeurs en 1971

Tous les mois, vous aurez droit à un extrait d’un film réalisé par l’abbé Ferminne, le dernier proviseur. Ses bobines 8 et Super 8 ont été numérisées en 2007.

Voici la première vidéo que nous vous proposons : un match de foot entre élèves et professeurs en 1971. (cliquer sur le lien ci-dessous)

https://www.youtube.com/watch?v=3iTBOGRaYKw

La scène : la cour de récréation.

L’événement

À l’occasion du carême avaient lieu différentes activités. Une des plus populaires : les matchs de football qui opposaient des équipes d’élèves et une de professeurs. Ici, il s’agit de la finale, qui voit s’affronter l’équipe des profs et celle des 3e et 2e (ancienne appellation ; on dirait aujourd’hui 4e et 5e).

Le résumé

1ère partie (jusque 1’22) : le match. On reconnaît parmi les joueurs, pour les élèves, Roger Pattyn, Célestin Hastir, Michel Lecomte (goal), Gabriel de Moriamé, Noël Charlier ; pour les professeurs, Francis Prignon, André Magonnet, Jacques Hanse, Henri Bille (goal), Michel Delire, Jean-Noël Jeannier.
L’arbitre : Christian Ghesquière.
Auteurs des goals : Célestin Hastir et André Magonnet.
Parmi les spectateurs (élèves) : Jean-Marc Tasseroul, Pierre Tasiaux, Fernand Harzimont, Jean-Luc Bastien, Omer Laloux, un des jumeaux Mauclet, Pierre Lissoir, Bernard Van Vynckt, Étienne Ernoux, Serge Bayens, Francis Bridoux, Patrick Denis, Charles Dereppe, Jean Dombasi, Étienne Montfort, Pierre Kinif ; (profs) : Daniel Demaude, Jean-Marie Detry, Michel Warnon, Clément Kinet, Claude Cornet, Michel Cruquenaire, Louis Dubois (le supérieur).

2ème partie (de 1’22 à 3’07) : les tirs au but. La partie s’étant terminée sur un match nul, il fallut recourir aux tirs au but. Suspense insoutenable… puisque deux salves furent nécessaires pour départager les adversaires ! Qui sortira donc vainqueur ? Entre les poteaux – ou plutôt, ici, entre les arbres –, Michel Lecomte et Henri Bille prendront place tour à tour, n’oubliant pas à chaque fois d’échanger la casquette, emblème du gardien de but. « Michel Lecomte…comme le présentateur des sports à la télévision ? » Bien vu ! Vous voyez, il présentait déjà de solides aptitudes pour exercer son futur métier…

3ème partie (de 3’07 à 4’18) : la « 3ème mi-temps » ; les profs boivent une bière dans le bureau du préfet.
Quels profs ? En plus de ceux cités plus haut, vous reconnaîtrez Joseph Lecomte, Jean-Marie Marischal, Jacques Leclef – et Edgar Auspert, qui venait donner des cours de judo.

4ème partie (à partir de 4’18) : élèves et professeurs vont en classe.
On reconnaît parmi les élèves Étienne Bossrez, Pascal Huicq, Vincent Demanet, Éric Allegaerts, Étienne Barbier, Patrick Glesner, Stéphane Palate, Denis Lambert, Léonard Guillaume, les frères Mauclet, Edmond Floymont ; les professeurs qui accompagnent les élèves sont Francis Prignon, André Férard, Jean-Marie Thomas et Christian Ghesquière.

Si vous reconnaissez d’autres personnes, n’hésitez pas à nous les signaler, en précisant dans quelle partie du film elles apparaissent. Vous nous aiderez ainsi à compléter nos archives.
Écrivez-nous à l’adresse suivante : archisef@semflo.be


Le lundi 17 novembre 2014,  l’émission  La Tribune (“La deux”, télé, RTBF) a mis à l’honneur le Séminaire et ses apprentis footballeurs.
Pour ceux qui l’ont raté, visionnez le petit passage “clin d’oeil” de l’émission en cliquant ici !


En commentaire, vous trouverez notamment un petit texte que nous avons reçu de Danny Bille, ancien de la rhéto 1979 (et président du Pouvoir Organisateur de l’école).
Si vous aussi, vous désirez nous faire part de vos impressions, n’hésitez pas à nous laisser un petit message !

 

La ligne du temps

Ce que vous pourrez trouver sur la ligne du temps

Si vous passez au séminaire dans le « couloir des grandes vitrines » (où sont exposés des instruments de physique, des animaux empaillés, etc.), vous ne manquerez pas de voir la ligne du temps accrochée sur un mur : plus de 10 m. de longueur, reprenant 200 ans d’histoire ! C’est en 2009, dans le cadre de l’exposition du 190e anniversaire de l’école que cette ligne du temps a été réalisée par Jean-Marie Detry et Pierre Lambert.  Elle a été mise à jour en 2020 à l’occasion du 200e anniversaire du séminaire, fêté au cours de l’année scolaire 2019-2020. Pour mémoire, on rappellera que le tableau est divisé horizontalement en une dizaine de bandes.

La bande centrale concerne les élèves avec, année par année, la population scolaire : internes d’abord, puis internes et externes (depuis 1974) et, avec la mixité à partir de 1988, la distinction entre garçons et filles.

Sous ces données statistiques, des informations succinctes sur l’évolution du règlement : heure du lever, retours en famille, etc.

Encadrant les élèves et selon une disposition assez traditionnelle, tout le personnel tel qu’il est repris au début dans les palmarès, plus tard dans un fascicule édité chaque début d’année scolaire.

Une bande pour les professeurs avec deux dates (début et fin d’activité au séminaire). Chaque fois que cela a été possible, une photo accompagne le nom. Sont repris, de façon distincte, les professeurs de la section philosophie (jusqu’en 1967) et ceux des humanités.

Juste au-dessus des professeurs, le personnel de direction traité de la même façon : deux dates et une photo.

Sous la bande consacrée aux élèves, une place est réservée aux surveillants plus tard appelés éducateurs ou éducatrices. Après 1967 s’ajoute le personnel administratif. Puis viendront les membres du P.M.S.

Les religieuses de Champion, le personnel des cuisines, les portiers et les ouvriers n’ont pas été oubliés. Quelquefois avec une photo de groupe.

Plus bas dans le tableau, une bande concerne l’évolution des sections (latin-grec, scientifiques, passage au Rénové, etc.)

Enfin deux bandes plus imagées bordent ce tableau. L’une, au sommet, permet de se rappeler ce qui se passe dans le monde durant ces 200 ans : les grands événements politiques internationaux, les découvertes scientifiques, les courants littéraires et artistiques, la vie de l’Église et la politique belge concernant l’enseignement. L’autre au bas du tableau évoque le séminaire intra muros : transformations architecturales importantes, jubilés, concerts, festivals, avec assez souvent une photo.

Hors tableau et le couronnant, une vingtaine de vues de l’abbaye devenue séminaire au départ de divers documents iconographiques (aquarelles, lithographies, croquis et photos). Mais pour les voir, vous devrez venir au séminaire. Vous y êtes toujours les bienvenus.


Cliquez sur chaque décennie pour la voir en plus grand… Attention, les images sont en haute qualité et le temps de chargement peut être de quelques secondes.

1811 – 1820Ligne du temps Sém. Floreffe 001

1821 – 1830Ligne du temps Sém. Floreffe 002

1831 – 1840Ligne du temps Sém. Floreffe 003

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1951 – 1960Ligne du temps Sém. Floreffe 015

1961 – 1970Ligne du temps Sém. Floreffe 016

1971 – 1980

1981 – 1990

1991 – 2000

2001 – 2010

2011 – 2020