La troisième séquence cinéma est disponible ici.
Trois tableaux d’une journée de fête
Le 1er tableau se passe dans l’église abbatiale : la messe
(0’00) Les communiants en aube blanche remontent la nef centrale de l’église entre les élèves qui occupent les bancs, à gauche et à droite. Ils viennent de la cour d’honneur et tiennent en main un cierge allumé.
(0’08) Ils sont arrêtés au bas des marches du transept. Le supérieur, le chanoine Victor Jacques, et le chanoine André Simonet s’avancent parmi eux, précédant l’évêque, Mgr Charue.
(0’13) Dans le transept.
L’évêque s’assied face à l’assemblée. C’est là qu’il va les confirmer.
Tournés vers l’autel, les communiants sont agenouillés, ainsi que les prêtres et les enfants de chœur. L’abbé Henin dirige les chants de l’assemblée.
(1’11) Dans la nef : l’assemblée, avec l’abbé Henin.
Dans le transept : la chorale, avec l’abbé Detienne.
Dans le chœur : les prêtres et les communiants.
Le 2ème tableau a lieu dans la salle vitrée : le repas
(2’51) Certains élèves mangent avec leurs parents – très probablement les communiants –, les autres sont groupés à d’autres tables. Remarquer, contre le mur du fond, la table d’honneur où ont pris place l’évêque et le supérieur avec, à leurs côtés, les professeurs
(3’10) Debout, veillant à la bonne ordonnance du repas : l’abbé Nélis (le préfet) et l’abbé Neyt.
Le 3ème tableau se déroule dans un lieu que l’on n’a pas l’habitude de voir : la cuisine
(3’12) Les TARTES ! Les célèbres (mythiques, presque) bonnes tartes préparées par les sœurs et dont se régalaient les élèves et leurs parents, à certaines occasions. Elles étaient aidées par celles qu’on appelait les « servantes ». Ici (4’17), on voit Alice Marlier entrer la glissière dans le four. On reconnaît aussi, sauf erreur de ma part, Sœur Marguerite et Mme Moreau.
(4’20) Deux religieuses (l’une est Sœur Élisabeth) retirent de la sorbetière le long cylindre qui contient la crème glacée. Les gros blocs de glace venaient des « Brasseries frigorifiques », qui fournissaient de la glace pour les commerçants. Les frigos existaient très peu.
Pour la petite histoire, sachez que Sœur Marguerite avait reçu en cadeau pour son jubilé une sorbetière. C’était à sa demande, pour qu’elle puisse faire de la glace pour les élèves ! Bel exemple de dévouement…
(4’51) Les plats sont prêts à être servis.
(5’28) Photo de famille : les neuf religieuses, les neuf servantes.
(6’02) FIN
Si vous reconnaissez des personnes ou si vous souhaitez ajouter un commentaire, n’hésitez pas à utiliser la rubrique ci-dessous ou écrivez-nous à archisef@semflo.be